école = désespoir

Je ne sais plus que faire avec mon fils. Il est intelligent, a tout pour réussir, mais il va physiquement en classe, mais laisse son cerveau dans les nuages.

Aujourd'hui, on m'apprend qu'il reste en GPI pour sa 8ème année.

Je ne sais plus que faire? 

Avez-vous eu ce problème?

Que pourrais-je faire ?

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hello Soierie,
pourrais-tu me dire ce que signifie GPI... si j'ai bien compris c'est celà qui te désespère mais je ne sais pas ce que c'est...

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Salut, en fait c'est le nouveau nom des "classes de développements" c'est pour les enfants en grave difficultés scolaires ou pour les enfants de langues étrangères arrivés en Suisse en cours de scolarité.

Non, ce n'est pas qu'il soit dans ce réseau, mais qu'il ne fasse pas plus d'effort à l'école avec toutes les capacités qu'il a ! et bien sur avec plus d'effort il ne serait pas dans cette filière. c'est ça qui me désespère et on dirait que cela lui est égal !!

et aussi, je vois mal comment il pourra se présenter devant un futur employeur de la branche qui lui plait avec son bagage scolaire. Bien que si ça lui plait alors là tout va bien.

JE DESESPERE..!!!

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Bonjour !

Bon du calme... même si c'est dur pour toi. Pourrais-tu nous mentionner : ton canton, quel âge a ton enfant, quel est la voie qui lui plaît, pour quelle(s) raison(s) a-t-il été enclassé en "GPI" et depuis quand ?

Es-tu sûre par exemple que ton enfant n'est pas HP (haut potentiel) car même s'il sont peu nombreux, on les retrouve souvent en difficultés scolaires. S'il est dans une classe spéciale, des bilans ont dû être faits ou proposés. Pourrais-tu nous en dire davantage afin que l'on puisse mieux te répondre.

Mais surtout, dis-toi déjà qu'il existe des solutions, même si le parcours sera a priori plus compliqué, il ne faut pas se le cacher. Courage et reprends ton message.

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Juste au passage, tous les cancres ne sont pas HP. C'est un peu pénible je trouve ce raccourci rapide censé tout expliquer. Et oui, il y a des cancres, ça existe vraiment! Des enfants qui n'aiment pas l'école, n'ont pas envie de bosser, c'est possible. Il y a aussi ceux qui ont des difficultés particulières qui n'ont jamais été envisagées, malgré que nous soyons en 2010. Dyslexie, dyscalculie, dysorthographie, dyspraxie, TDA/H, mauvaise vue, mauvaise ouïe, etc, voire même (si si, je vous assure que ça existe) intelligence un peu faible dans certains domaines. Ensuite il y a ceux qui n'ont pas de cadre, pas de motivation, pas de soutien, qui vivent des drames familiaux, etc. Mais parmi tous ces enfants il y en a quand même qui réussissent, et qui réussissent bien. Bref, le coup de l'enfant en classe ressource qui est HP ça me fait toujours réagir, parce qu'il faut quand même admettre qu'ils ne doivent pas être nombreux dans ce cas à être orientés dans ce genre de classe (hormis problèmes linguistiques ou souci très particulier). Les HP qui font une scolarité médiocre se retrouvent plutôt en VSG ou VSO. Les exigences de ces classes de développement sont vraiment light en comparaison des autres niveaux (il n'y a qu'à voir déjà la différence en VSG et VSB), alors un enfant HP devrait s'en sortir facilement, sans avoir besoin de bosser quoi que ce soit.

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Miaou...  d'accord avec toi sur plein de points... c'était juste une question... pour ôter toutes les éventuelles raisons qui feraient que cet enfant ne travaille pas... dans le but d'aider sa maman... env. 2% d'enfants HP, c'est très peu en effet... et c'est un autre débat de savoir dans quelles classes ils se retrouvent mais autant écarter cette hypothèse comme d'autres non ?

 

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C'est clair qu'il est plus valorisant de se dire "mon enfant n'arrive pas à l'école parce qu'il a un QI de 140 et est incompris" plutôt que "mon enfant n'arrive pas à l'école parce qu'il a un QI de 85 est n'arrive pas à suivre"... Pourtant, ils existent aussi, ces enfants. Tout comme ceux qui, comme mentionnés par Miaou, ont un problème de type dyslexie ou autres non diagnostiqué et ont "lâché" à un moment donné. Et même si le problème est diagnostiqué et traité, il reste parfois bien là et donne bien du mal à l'enfant !

Dur dur, dans notre société, avec un enfant qui n'est pas intéressé par l'école. Dur dur pour une personne d'avoir du mal à calculer ou à écrire correctement, lorsqu'il faut chercher une place de travail. Je comprends que tu aies peur pour l'avenir.

 

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bonjour, alors sans contrôle c'est pas un HP, mais c'est pas un idiot non plus, tout ce qu'il fait nous le prouve, mais il s'en fout, il va à l'école fait ses leçons sans problèmes, mais en classe, sa tête n'y reste pas concentrée.

Il est en GPI depuis déjà 2 ans. Les premières années primaires, fut cata, (trop long à développé) au vu des différentes maitresses (il est vraiment pas bien tombé), chaque fois qu'il avait une maitresse avec qui ça jouait bien, celle-ci partait en fin d'année, ce qui veut dire que sur les 5 premières années scolaires = 5 maitresses différentes. Youpie !!

Et là la dernière pour la 5ème et première de GPI ça allait bien, on parlait de le relancer dans la VSO à la fin de la 6ème, et en 6ème cata, il fout plus rien. Son cerveau n'est pas en classe, il écoute pas, mais pour le reste, c'est bon, quand il fait les leçons et que ça (surtout) l'intéresse.

J'ai pris contact avec une psychologue, on verra.

 

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Soierie ne sait plus que faire

Son lardon n’a rien à braire

 

Dans le coton est sa cervelle

Il ne fait rien dans la dentelle

 

Avec fiston que faut-il faire

Pour qu’il retrouve ses repaires

 

Puisqu’il désobéit

Coupe-lui le GPI

 

Perdu dans le brouillard

Un GPS pour ton lascar

 

Cerf volant retrouvera son corps

Avant que le vent se détériore

 

Suggestion Caméléon

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Pourquoi tu ne le mettrais pas dans le système de l'Ecole Steiner....Il ont des résultats assez extraordinaire avec des enfants pas ou peu scolaires. J'en connais plusieurs qui on fait 2-3 ans dans ce système et rejoint le public après et ça s'est très bien passé...

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Je ne connaissais pas du tout les unités GPI (je ne sais pas si on trouve celà dans mon bled d'ailleurs). Merci Soierie d'avoir éclairé ma lanterne.
La première question que je pose en te lisant: tu dis que ton fils n'a pas la tête au travail alors qu'il en a les capacités... as-tu pu parler avec lui de se qui le "bloque" ou tout simplement ce qui fait qu'il n'a pas envie de faire un minimum d'effort en classe (mis à part le fait qu'il a peut-être été déçu par les profs, les changements incessants d'enseignants)? As-tu vu le psy scolaire? peut-être qu'avec lui il arrivera à parler et que les choses pourront se "débloquer".
J'espère que vous arriver à trouver la faille et que toute la famille puisse se sentir mieux dans ses baskets...

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Steiner ? tout sauf ça !!!! les 4-5 personnes qui avaient placés leurs enfants les ont retirées en moins de 12 mois. C'est la cata. Des écoles privées, OUI, ils y en a de très bonnes mais pas celle là.

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Thai :
Oui, j'en ai discuté avec lui et pour lui tout est ok, pour les profs, ils aiment bien ceux qu'ils a actuellement.
 
J'ai pris contact avec les psys scolaires pour qu'il soit pris en charge l'année prochaine directement à la rentrée, il change de prof, mais celle de cette année veut bien en discuter avec la psy, car elle trouve aussi qu'il pourrait beaucoup beaucoup mieux faire, mais est comme moi, ne sait plus comment faire.

Quand au GPI, normalement oui, il y en a partout, c'est des classes a effectifs réduits.

Tonton :
D'après ce que sais, c'est très bien pour les primaires, mais dès que les enfants sont plus grands ou en difficultés c'est pas génial, je n'ai pas du tout envisagé cette solution.

Quand à une école privée, faut avoir les moyens, ce que je n'ai pas ! et puis si il n 'y a pas de volonté de sa part, école publique ou école privée, je vois pas la différence !

Bon, au dernière nouvelle, j'ai eu avec mon fils un énième discussion et il m'a promis qu'il ferait beaucoup d'effort l'année prochaine. Et de mon côté, je me suis promise de le driller constamment.

On verra bien !!

 

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Hello! Oui, encore une fois, je vais prendre des risques, mais bon. Ton fils te fait des promesses (celle de faire mieux l'an prochain) et toi tu te fais la promesse de le talonner. Et moi je dis: ERREUR! Il entre en 7ème l'an prochain, il est grand. Il va à l'école parce qu'il a la chance d'habiter dans un pays où l'éducation est offerte, logique. Il aurait la chance d'apprendre à lire, écrire correctement, compter, se cultiver. C'est pour lui qu'il doit le faire, pas pour maman. Maman a déjà tout ce qu'il lui faut (enfin, on présume), merci. Le talonner, le poursuivre, l'enguirlander pour les plantées ou le travail pas fait.... Bref, moi j'ai décidé de laisser aller. J'ai tiré une de mes filles jusqu'à la 7ème, et durant toute la 7ème j'ai fait comme toi. C'était épuisant, chiant, ça créait des conflits sans fin et elle savait pertinemment qu'elle me tenait bien, avec ces histoires d'école. Mais zut, un moment donné il faut admettre qu'ils sont grands et les laisser patauger dans leur jus, qu'ils assument les frais de leur paresse et de leur bêtise. Combien de fois les "maman, tu peux m'aider pour ce devoir" ont tourné à l'engueulade, parce que finalement, la demande de fonds était: "maman, fais ce devoir à ma place". Non ma fille, débrouille-toi. Moi j'ai déjà fait l'école, débrouille-toi. Aider oui, soutenir OK, mais talonner, cravacher, rhôôôô....pfff. Le seul truc que j'ai fait, en fait, c'est d'offrir une répétitrice dans les domaines qui posaient des difficultés, parce que pour moi, fini la prise de tête. Ras-le-bol de cette attitude je-m'en-foutiste depuis la première primaire. Il y a les élèves scolaires et les autres, point barre. On a ce qu'on mérite après. Et bingo, du moment où j'ai lâché l'affaire, il y a eu plantage radical de quelques mois. Suivi d'une grosse trouille de redoubler, puis reprise en mode croisière minimaliste et obtention des points suffisants pour entrer in-extremis au gymnase en voie diplôme. Et là, la révélation: oui, l'école ça peut être intéressant. Apprendre des choses peut être stimulant, joyeux, apporter des choses. Etudier peut être nourrissant! Bref, là, la demoiselle s'est révélée être assidue, travailleuse. Elle cartonne avec les meilleures note de sa classe et a décider de raccorder en voie matu l'an prochain. Comme quoi.

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J'admire le lâcher-prise de miaou. C'est aussi comme ça que je fonctionne, mais autant vous le dire, c'est pas facile à vivre, de voir que son gamin en 8ème se plante allègrement ! On se projette dans l'avenir et on se demande comment il va trouver une place d'apprentissage.

Je reviendrais au fondamentaux ( si chers à notre ami français).
Bien souvent les enfants lâchent leur engagement scolaire faute de maîtriser l'écriture, le vocabulaire, et la lecture. Comprendre ce qu'on lit, savoir dire par écrit sans trop de fautes ce que l'on pense, ce sont des outils. Ils permettent de construire des raisonnements. La mémoire permet d'assurer l'apprentissage.

 Comme ils doivent fournir un énorme effort pour quelque chose qu'ils sont censé maîtriser, ils n'ont plus de forces pour apprendre et construire. ils sont sans gratification  et bâchent, comme on le ferait à leur place. Vous feriez l'effort d'apprendre à lire pendant 5-6- ans ? moi pas ! C'est bien trop décourageant. Sans parler qu'ils vivent dans une société du tout tout de suite... ce qui complique singulièrement la donne.

Donc repartir de zéro avec une répétitrice pour la lecture, l'écriture. Pour le vocabulaire, je suis souvent surprise de voir que les parents ne font pas l'effort d'employer le mot juste. On se contente de 500 mots  les plus usuels pour le quotidien et basta. La fonction d'éduquer nécéssite aussi que nous les parents offriions à nos enfants quelques opportunités d'apprentissages et de développement de leur langue maternelle.

Repartir de zéro.
Il est important que le jeune puisse réussir quelque chose, atteindre un objectif plus petit mais y arriver et ne pas renoncer avant d'avoir essayer au moins trois fois...  Pour cela, je pense que c'est mieux d'avoir un professionnel.  Et qu'à la maison on le responsabilise la moindre. Faire un repas ne nécessite pas de compétances scolaires, le jardin non plus, s'occuper d'animaux procure du plaisir ...  s'atteler à la réalisation d'un objet, d'un meuble, sollicite la créativité, et rendre service à autrui (EMS, gardiennage d'annimaux, manifestation sportives ou culturelles) developpe des compétances relationnelles. Un poil plus sur de lui, des fondamentaux revisités, des parents qui cadrent avec bienveillance, un jeune peut se découvrir et faire son chemin. Comme la fille de miaou. Miaou a accepté que l'on vise un cran en dessous, la voie diplôme plutôt que la voie matu et sa fille rassurée parcequ'elle y arrive se découvre de l'intérêt et hop se motive pour la suite.  Dire aussi que certains jeunes changent radicalement entre 16 et 20 ans. Une fois leur puberté derrière eux, leur maturité s'affirme et l'énergie est retrouvée... 

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Barberino, c'est intéressant ton sujet sur les fondamentaux, mais tu parles d'extrême. La joie de lire, la joie d'écrire, ça peut venir très tôt et durer toute la vie. Bâcher après 6 ans parce qu'on est épuisé d'apprendre des bases, ce sont tout de même des cas extrêmes et on peut se poser la question de la responsabilité des adultes entourant cet enfant qui rame si intensément pendant toutes ces années et qui en est encore à ne pas comprendre ce qu'il lit et être incapable d'écrire. On parle d'un enfant qui a un problème qui n'a pas été identifié et/ou dont on n'a pas voulu s'occuper. Bref, ces enfants-là, pour peu qu'on soit un minimum attentif, ne devraient passer le cap de la première primaire sans avoir fait les bilans qui s'imposent et sans commencer un suivi professionnel adéquat. Mon andouille de fille aînée dont je parle plus haut est atteinte d'une très importante dyslexie. Elle a bénéficié de séances d'orthophonie pendant 2 ans, à raison de 3 heures (pas 3 périodes, 3 heures en deux séances hebdo) la première année, puis 4 heures et demi la deuxième année. Mais cela dit, une fois "rééduquée", ce n'était plus vraiment la dyslexie qui posait problème, c'était sa paresse et son goût pour d'autres sujets que l'école! (Pour conclure, je vous présente mes excuses pour ces paragraphes compacts, impossible de faire accepter mes "retours à la ligne" depuis le nouveau forum)

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Alors pour répondre aux dernières interventions

1. j'ai déjà tenté de laisser aller, descente aux enfers pour lui, convocation par la maitresse, remise à l'ordre de la maman, car elle ne s'occupait plus des contrôles des devoirs ! reprise des contrôles, remontée de la pente, toujours le même jemenfoutisme

2. Il n'a aucun problème d'apprentissage juste du jem'enfoutiste !

3. Non je ne lâcherai pas prise ! pas pour moi, pour lui, JE VEUX qu'il puisse se présenter au moins au certif de VSO et JE ferai tout ce que je pourrai pour cela.

4. Je suis également sure que si on arrive à lui trouver une place d'apprentissage dans le métier qu'il veut (places très limitées, au demeurant) il n'aura aucun problème à ce moment là, dans ses apprentissages, vu qu'il appréciera ce qu'il fait !! mais j'ai beau lui expliquer que pour y arriver faut bosser à l'école, parler à un mur, c'est pareil.

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Faut aussi que je vous dise que cela me fait un très grand bien cette discussion.

ALORS MERCI à vous tous et toutes !

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Pour préciser ma pensée.
Je ne parlais pas d'un enfant de 6 ans ... mais de manière plus générale, ne pas savoir lire veut dire que  la compréhension du texte est trop difficile, peut-être que la vitesse de lecture est insuffisante, que le vocablaire rebute, voir est si lacunaire qu'on ne peut comprendre un texte que de manière globale et aproximative. Il arrive fréquement que des jeune sachent lire (déchiffrer ) mais ne comprennent pas... De même, l'écriture est plutôt la manière de mettre par écrit que de former les lettres et les mots bien que là aussi, il y a un lien étroit entre le dessinage des lettres trop lent (mauvaise maîtrise du geste fin de la souplesse du poignet ou perturbation de la relation oeil-main) et l'élève perd de vue ce qu'il veut mettre par écrit.  Quand il y a jusqu'a 26 éève en classe enfantine, les maîtresses n'ont pas le temps matériel de suivre chacun dans ce type d'apprentissage et certains enfants présentent plus de difficultés que d'autres.  Le résultat n'est pas vraiment décelable individuellement avant la 4ème voir la 5ème année. Les enfants ayant entre eux une grande variété de rapidité d'apprentissage.  Dans l'idéal il faudrait que chaque enfant parvienent  a bien maîtriser la lecture et l'écriture au sens large du terme avant le secondaire II. C'est loin d'être le cas. J'ai même un de mes enfants qui a de sérieuses lacunes dans l'écriture ... je me suis concentrée sur la lecture, pensant à tort que le reste suivrait.  Il aurait fallu mieux gérer les trois axes lecture - écriture - vocabulaire.

Quand je parlais de fondamentaux, ce n'est pas seulement le déchifrage que la compréhension du texte, du vocabulaire employé (on ne parle d'explication de texte, mais c'est dans cette direction que je penche). On est encore loin du plaisir. Juste de la pratique de l'outil lecture ou de celui écriture.

 

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J'ai pas lu les messages de tout le monde... Mais le cas de ton fils me fait penser à quelque chose...

Ne serait-il pas à classer parmis les "surdoués" ton fils? Peut-être qu'il s'enquiquine à l'école... Ces enfants-là sont très souvent en échec scolaire et on met du temps à coimprendre pourquoi...

C'est une piste parmis d'autres... Qui sait?

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